
Dans le roman, le récit de la perte du bébé à naître, alterne avec celui, léger, solaire de la rencontre, et heureusement! Mais ce qui fait vraiment l’originalité de Dieu surfe au Pas basque, c’est le regard masculin porté sur l’histoire. Les angoisses, la tristesse et la tendresse du héros. Et puis le livre sonne tellement vrai qu’on se doute que l’histoire est autobiographique. Et Dieu dans tout ça? C’est lui qui distribue les cartes de la vie!
Harald Cobert, Dieu surfe au Pas basque, Editions Héloïse d’Ormesson